Thèsez vous qui disait...

Après la gastro royale, après les flâneries au rayon beauté du Printemps un sandwich à la main (à essayer, c'est incroyable!), après le grand ménage de printemps (pas le même, bien entendu), et après de longues semaines d'absence et de réflexions élaborées dans mon for intérieur (en même temps au Printemps le fond de teint et l'eye-liner, "y réflechisse rein d'otre keé la loumière"), J'AI ENVIE DE TRAVAILLER!!! Incredible? Que nenni. Ce phénomène est tout ce qu'il y a de plus normal. En effet, l'animal thésard marche au "je préférerais plutôt" : je préfererais plutôt être malade que retravailler mes retranscriptions, je prférerais plutôt aller mater des blondes et des kilos de peintures en petites boites Boulevard Haussman que relire le bouquin de Ehrard sur l'idée de nature, ou encore je préfererais passer la serpillère dans tout l'appart plutôt que de préparer mes nouveaux guides d'entretiens.... Et maintenant que j'en suis arrivée à ce niveau d'accomplissement de tâche, la tâche travail apparaît sur ma liste décroissante de ce que je préférerais plutôt faire. Et je me soumets à la superstructure que m'impose cette "to do list" (qu'il faudrait que je fasse d'ailleurs...)...